Gerviev - Swan Lake
Et me voilà de retour à Nice et sur ce blog par la même occasion. Ces derniers mois, écrire que ce soit ici ou dans mon petit cahier s'est fait particulièrement difficile. Il se passe des choses plutôt difficile dans ma vie et en parler sans que des larmes coulent le long des mes joues m'est impossible or, je lui ai promis de ne pas pleurer pour ça. Même si parfois, je ne peux retenir mes larmes, je m'efforce un maximum de tenir ma promesse. A côté ça, il a de véritables moments de grâce. Hier, par exemple, nous étions à Francfort, j'ai revu Christoph Schneider batteur de Rammstein de son état mais le plus important ce n'est pas ça. Manu était invité par la marque avec laquelle il travail à faire une petite démonstration, mon bien aimé à fait parler son talent et en a épaté plus d'un que ce soit parmi les professionnels ou les passants. Ça m'a foutu un sacré coup de le voir s'acharner sur ses futs devant tout ces gens, j'étais partagée entre un sentiment de fierté, de joie et d'injustice. Si la vie se décidait à lui sourire, si le destin pouvait lui foutre la paix, je mettrai ma main a couper que le Manu deviendrait un des plus grands batteurs de sa génération. Ce mec là, il a plus que le rythme dans la peau. Seulement voilà, y a cette merde qui vient tout remettre en question et nous foutre en l'air de surcroit. Il me répète souvent que si jamais les choses ne tournent pas à notre avantage, faut pas que je l'attende sauf que je ne suis pas certaine d'en avoir envie. Manu, c'est le seul mec au monde capable de me faire rire quand j'ai le moral bien au fond des mes baskets. Je lui confierai ma vie les yeux fermés parce que je sais que jamais ô grand jamais il ne me fera du mal. Demain, dans un mois, un an ou deux, il n'y aura peut-être plus nous. Cette simple idée suffit à me glacer le sang et me déchirer le cœur.

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